Pourquoi

Contribuer à la Fondation ?

Après dix-sept ans d’existence de l’association ACIDD, il est temps de changer de méthodes, d’être plus ambitieux. Nous souhaitons pour cela engager une relation plus approfondie avec des partenaires privilégiés. 

 

Ces membres vont constituer le Comité stratégique qui déterminera les programmes. Ils constitueront aussi le Comité exécutif de la fondation abritée que nous avons créé avec le soutien de FACE (Fondation agir contre l’exclusion). 

 

En devenant membre fondateur, vous associez l’image de votre entreprise à une démarche prospective, tournée vers l’avenir et soutenez la fondation. Dans un esprit collaboratif, nous définissons avec vous une offre de partenariat sur-mesure et adaptée aux besoins spécifiques de votre organisation publique ou privée. 

 

 

Nous souhaitons construire 

avec vous une véritable 

dynamique d’échanges mutuels 

 

avec votre organisation. 

Devenir membre fondateur de la fondations transitions c'est 

prendre la parole pour faire profiter de vos initiatives les partenaires de la fondation ;

être visible sur l'ensemble des supports de la communication de façon permanente ;

inviter ses partenaires des façon active aux différents événements et initiatives de la fondation ;

enrichir par l'expérience l'information diffusée par la fondation ;

prendre en charge l'organisation d'un événement annuel : atelier professionnel, séminaire interne, correspondant aux status de la fondation ; au travers d'un networking qualifié,

bénéficier et faire bénéficier de temps d'échange privilégiés.

    


Une ambition, des leviers, pour la synergie des transitions…

Chacun a la capacité d’agir en efficacité collective. Pour cela, chacun devra comprendre que l’on peut bien vivre dans un monde à la fois incertain et complexe. Pour la première fois, nous devons adapter en permanence nos modes de vie et de travail, donc mieux anticiper, mieux écouter pour comprendre, mieux renforcer ses capacités, mieux coopérer. C’est un appel à la création d’un laboratoire des transitions que nous lançons.

 

Les dérèglements climatiques et les pollutions imposent de vrais changements de comportement et d’organisation de nos sociétés. L’envie d’action est là, et elle ne se réduit plus à des « signaux faibles ». Mais comment agir à grande échelle, garder comme ambition la qualité de vie partagée par tous ? Comme l’affirme les 17 Objectifs mondiaux de développement durable votés à l’unanimité de l’Assemblée générale de l’ONU : « ne laisser personne au bord du chemin ».

 

Quelle est la place des valeurs ? Comment renforcer les capacités pour décider pour l’immédiat et le futur, dans une démarche à la fois synchrone et asynchrone ? Cela interroge sur les questions des modèles économiques, de modes de gouvernance, d’organisation et de leadership, de modes de communication… et de la place de l’innovation. Chaque organisation - entreprise, territoire ou association - est partie-prenante des mutations actuelles. 

Ce sera d’autant plus important dans les prochains mois et prochaines années, 

que de nouvelles disruptions émergent : NBIC, transhumanisme, accélération de la globalisation et du big data, block chain… et globalement la civilisation numérique. 

Initialement, l’efficacité était fondée sur l’autorité et la stabilité dans le temps des structures sociales et économiques.

Nous sommes tous acteurs :

être citoyen, ce n’est pas vivre en société, c’est la changer. 

Augusto Boal 

Aujourd’hui elle se fonde sur le mouvement, les flux et la grande mobilité des nouvelles frontières des territoires numériques, de nouveaux talents et compétences : la créativité, l’intelligence émotionnelle, l’empathie, la pensée critique, l’assertivité, la bienveillance, l’autonomie, le leadership personnel, l’écoute… auxquelles ne préparent que peu l’éducation et formation. 

 

Et pourtant elles structurent les modèles affirmés par de nouvelles générations qui se préparent mieux que les précédentes à 

une approche systémique, avec des jeux comme SimCity ou Minecraft. 

Nous sommes dans une société nouvelle dont nous ne sommes plus seulement spectateurs, mais acteurs, réalisateurs et producteurs. Notre perception de l’espace est totalement différente, avec des freins et accélérateurs nouveaux.

 

Seul ou au centre de son organisation, l’humain est en capacité de devenir un « entrepreneur des transitions ». Pour cela, il devra intégrer que nous vivons le temps des possibles.

 

La Fondation des transitions souhaite confirmer son rôle d’accélérateur, à la convergence de grandes transitions sociétales, avec des entreprises, des territoires, des associations, des médias, des centres de recherches, des agences gouvernementales… des femmes et des hommes capables de faire des « pas de côté ». Nous souhaitons travailler avec chacun d’entre vous, 

 

Rejoignez notre fondation. 

Gilles Berhault, délégué général 


AVANTAGE & QUALITÉ

des membres

Chaque membre et partenaire, public ou privé est partie prenante et associé à la communication et à toutes les actions engagées.

 

Il peut choisir un sujet dont il assurera le pilotage : mobilité, alimentation, énergie, déchets… Il devra organiser et animer au moins une matinale des transitions par an sur le modèle organisationnel des matinales du développement durable créés avec le CESE, selon le cahier des charges.

Il contribue par des contributions à une des conférences ou aux séances de l’Université, aux travaux du lab. Il peut se prévaloir et faire la publicité de sa qualité de « membre » ou « membre fondateur » de la Fondation des transitions. C’est aussi la possibilité de relations très privilégiées avec les autres membres. Un groupe de travail communication va être mis en place. Chaque membre et partenaires sera cité sur chaque outil de communication publié (à charge de fournir à la date d’adhésion, les éléments graphiques dans une qualité suffisante). 


Chaque membre a la possibilité de contribuer directement en proposant ses solutions. 

Elles pourront être directement soutenues par la Fondation des transitions.